Visite d’une petite biscuiterie suivie d’une dégustation de la production : des galettes à base de farine de manioc – bien sympathique.
Notre dernier thé en terrasse avant longtemps sans doute !
« Somewhere over the rainbow »
Ou plutôt un petit coin d’imperméable indispensable car il pleuvait fort sur la grand route - la bruine est vraiment dense, obscurcit la vue et retombe en trombes d’eau sur les touristes que nous sommes. Mais ça fait partie de l’attraction !
Eh oui, on a pris toutes les précautions possibles lors de notre séjour au Brésil, notamment de sortir avec le moins de choses possibles sur nous, donc pas de sacs et rien dans les poches. Histoire d’éviter un « dognapping », potentiel dommage collatéral d’un passage de pickpocket par mes poches, Ulysse est resté essentiellement à la maison, et n’a pas beaucoup eu l’occasion de voir le Brésil – séance de rattrapage lors du tri des photos !
… mais côté Brésilien cette fois : la vue n’est effectivement pas la même et vaut autant le coup que de l’autre côté de la rivière !
Ca spritz dur ! Il y a un sacré paquet d’eau qui s’écoule – oui, je sais, je suis nulle pour retenir les chiffres : sont-ce les deuxième ou troisième plus importante en débit ? ou alors est-ce en hauteur de chute ? En tout cas, ce sont les plus belles qu’on ait vues… jusqu’à présent en tout cas (réponse dans quelques semaines après avoir vu les Chutes Victoria)
Typiquement argentin : l’empanada, ou petit chausson farci le plus souvent à la viande-oignon avec un peu d’œuf et une olive, mais il en existe autant de recettes que de grand-mères argentines, je suppose ! Un verre de vin du coin (de la maison même) et un syphon d’eau gazeuse – nous sommes à Cordoba où nous avons trouvé une bien sympathique cantine.
Il a rendu l’âme il y a longtemps déjà et n’a pas survécu aux multiples réparations. Eh oui, en voyage, nos fringues s’usent réellement à vitesse gand V ! Nous profiterons de ces quelques jours à Santiago pour faire un peu de shopping et le remplacer.
Ce sont des lieux ne servant que des cafés - et à vrai dire les seuls « vrais » café au Chili où la norme est le café lyophilisé trop dilué. Ces expressos sont à consommer debout, les serveuses (un brin décaties), vêtues de robes courtes et moulantes, perchées sur des talons hauts, officient sur une estrade, les miroirs et les comptoirs ajourés en offrent une vue dégagée. Rien de graveleux dans tout cela, en tout cas pour ceux, ouverts sur la rue piétonne, que nous fréquentons. Le service va jusqu’à l’allumage de la cigarette que le client va fumer avec son café ! « Piernas » se traduit par « jambes » en espagnol.
Mais en fait ni complet ni digeste ! C’est un hot dog garni de plus de choucroute, tomate, avocat, le tout généreusement recouvert de mayonnaise… A manger avec un Coca bien sûr, histoire que le tableau lui soit complet !
Une couche de « manjar » (« dulce de leche » partout ailleurs en Amérique Latine, et « confiture de lait » en bon français) comprise entre deux sablé et le tout recouverte de glaçage au chocolat – une bombe calorique, c’est sûr, mais qu’est-ce que c’est bon !
Dans tous les sens du terme !
Quelques photos juste pour donner une petite idée de l’échelle à vue de nez
« Il y a le ciel, le soleil et la mer » – et des fleurs, des fleurs, des fleurs.
Accueil fleuri à Raiatea, mais pas avec collier cette fois : des fleurs d’hibiscus sont disposées dans toute notre « maison ». L’hibiscus, c’est la deuxième fleur « symbole » de Tahiti : on en voit partout de tout types et couleurs.
Là, à Maupiti, on peut traverser à pied le lagon vers le motu (îlot) en face.
On a tendance à ne parler que de « Mordor », mais le Tongariro Crossing (le chemin de marche que l’on parcourt) est pourvu d’autres splendeurs et notamment quelques magnifiques traces de l’activité volcanique du coin.
Normalement, Ulysse est plutôt installé dans l autre sens, histoire de profiter de la vue… encore que la vue à l’arrière peut être superbe aussi.
Par contre, pas de crème d’indice supérieur à 30 (nous mettons du 50 et 60 d’habitude !) – mais elle est vendue en bouteille de 400 ml pour moins de 9 euros : c’est imbattable.
Euh, non, je voulais dire Opéra !
Il est aussi beau que dans « Nemo » - la lumière de fin d’après-midi le mettant particulièrement bien en valeur. Quasi impossible d’avoir des places pour une représentation par contre, dommage… ce sera pour une autre fois ?
Par contre, l’apéro, c’est bien pour maintenant : l’Australie est un pays « ami », producteur de vins pas du tout désagréables !
